WEBIN-ART – Rembrandt


Rembrandt Van Rijn – Autoritratto
1628 circa – Rijksmuseum – Amsterdam

I DISEGNI REALIZZATI

IL VIDEO DELL’INCONTRO

visibile pure sul canale youtube di ONDA CREATIVA

LE IMMAGINI CHE CI HANNO ISPIRATO

Le immagini seguenti sono pubblicate senza fini di lucro, a fini didattici, e sono destinate agli iscritti ai webinar « La storia dell’arte disegnata con Stefano Zago ». Tutti i diritti sono garantiti ai legittimi proprietari e ne è vietata la riproduzione. Su richiesta degli aventi diritto provvederò a indicare le fonti dove mancanti o alla rimozione dell’immagine.

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REMBRANDT

REMBRANDT van RIJN – AUTORITRATTI

REFERENZE

*La lezione, come le altre di questo ciclo, prende ispirazione dal libro di Riccardo Falcinelli « Figure ».

Sisters with transistors : les pionnières de la musique électronique au Palais de TokYo

Lisa Rovner, réalisatrice de Sisters with Transistors, nous propose un documentaire qui
plonge au coeur de l’histoire des pionnières de l’éléctro.

© Anna Lena Films & Willow Glen. Photograph by Peggy – www.palaisdetokyo.com
LE
#PALAIS DE TOKYO
vous propose
la projection du film
Sisters with transistors
de Lisa Rovner, en présence de la réalisatrice.
   

Omniprésente dans ses oeuvres, la musique électronique est un élément
fondateur de la pratique d’Anne Imhof ainsi que de celle d’Eliza
Douglas dont la carrière de musicienne a commencé aux côtés de Devendra
Banhart. Leur admiration commune pour les figures féminines dans
l’histoire de la musique électronique entre en résonance avec le travail
de recherche mené par Lisa Rovner, réalisatrice de Sisters with
Transistors, documentaire qui plonge au coeur de l’histoire des
pionnières de l’éléctro.

 

Elles s’appellent Éliane Radigue, Wendy Carlos, Clara Rockmore,
Daphne Oram, Bebe Barron, Pauline Oliveros, Delia Derbyshire, Maryanne
Amacher, Suzanne Ciani ou Laurie Spiegel : des légendes jamais assez
célébrées de la musique électronique. Ce film trace une nouvelle
histoire, encore jamais racontée, celle de ces femmes visionnaires qui,
des années 50 à 80, ont adopté les machines et leurs technologies
libératrices pour transformer radicalement la façon dont nous produisons
et écoutons la musique aujourd’hui. Constitué de magnifiques archives,
sur fond de contexte économique, politique et social du 20ème siècle,
le film de Lisa Rovner révèle une lutte d’émancipation unique,
rétablissant le rôle central des femmes dans l’histoire de la musique et
de la société en général.

 

Sisters with Transistors est bien plus que l’histoire d’un
genre musical : c’est un hymne à ces heroïnes du son, véritables
pionnières de la modernité dont le destin artistique est narré par nulle
autre que Laurie Anderson.  

Lisa Rovner

Lisa Rovner est une artiste et cinéaste franco-américaine. Elle vit et travaille à Londres. Ses films naissent de sa fascination pour les archives et son aspiration à transformer la politique et la philosophie en spectacle cinématique. Par le passé, Lisa Rovner a travaillé avec des artistes et des créateurs de renommé internationale, dont Pierre Huyghe, Liam Gillick, Sebastien Tellier, Maison Martin Margiela, et Acne. Ses films ont été présentés dans de nombreux centres d’art et cinémas à travers le monde. Elle développe actuellement une série comédie sur le monde de l’art ainsi qu’une série sur l’architecture révolutionnaire. Sisters with Transistors est son premier long-métrage documentaire.

Sisters With Transistors, 2020. Produit par Anna Lena Films. Co-produit par Willow Glen Films.

Ça se passe le 8.10.2021 à 20h au Palais de Tokio

 

13 Av. du Président Wilson, 75116 Paris

Source et images : © Anna Lena Films & Willow Glen. Image : Maryanne Amacher par Peggy Weil.  – www.palaisdetokyo.com
 

 

L’histoire de l’art dessinée – 21 mars 2023

Je m’émerveille moi-même de la densité des sujets abordés dans mes cours d’illustration, de bande dessinée et de dessin narratif en tant que formateur d’artistes avec @communautelacondamine. Tout en dessinant en direct et en invitant à dessiner dans un contexte convivial et concentré. Hier encore, nous avons abordé les structures narratives sur la planche simple et le livre illustré. Taille de la vignette, géométrie de la planche, rythmes narratifs, densité et souffle, effet de nuit, point de vue, rôle de l’observateur, perspective optique et narrative, effet de nuit, complexité et simplification, narration descriptive et poétique…. . Nous avons cité Tomi Ungerer, Will Eisner, Leo Lionni, Jeff Jones, Andrea Pazienza, Jean Giraud-Mœbius, Antonello da Messina.

The ballad of sexual dependency

A l’occasion de la sortie du film All the beauty and the bloodshed de Nan Goldin, je propose ces dessins réalisés lors de la projection à la Philharmonie de Paris en 2015, sur une musique des Tiger Lillies.

« The Ballad of Sexual Dependency, réalisée entre 1979 et 1986, est une des premières séries photographiques de Nan Goldin, mais reste aujourd’hui encore, et à juste titre, la plus connue de toutes ses œuvres. Le diaporama projeté sur grand écran est accompagné par les Tiger Lillies. Trio musical londonien, ils sont d’humeur sombre, provocateurs et blasphémateurs, grimés et grimaçants avec leur inspiration très brechtienne qui colle parfaitement avec les images. The Ballad of Sexual Dependency est un chef-d’œuvre, une authentique chronique des temps modernes. »*

Nan Goldin, photographies

The Tiger Lillies
Martyn Jacques, composition, chant, accordéon
Adrian Stout, contrebasse, chant, scie musicale, thérémine
Jonas Golland, batterie, percussions

* Source: Philharmonie de Paris
https://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/spectacle/16677-nan-goldin-tiger-lillies

DESSIN – Les matériaux du sketcher

Vous avez été nombreux à me demander quel matériel utiliser lors de mes cours d’histoire de l’art et de bande dessinée associés à la pratique du dessin.
Voyons si je peux satisfaire votre curiosité.

Résumons d’abord quelques concepts.
Le choix que je propose n’est en rien rigide et exhaustif, bien au contraire. Je suis moi-même curieux des nouveaux matériaux de dessin, et je me retrouve souvent à utiliser des stylos et du papier trouvés par hasard. Je vais sûrement oublier quelque chose, car je suis tellement négligent.

Alors, LIBERTÉ MAXIMALE !

Un dessinateur urbain dessine en plein air, dans une position parfois inconfortable. Il a donc besoin de matériaux qui lui permettent de s’exprimer librement dans le dessin.

Mais venons-en maintenant aux matériaux pour un dessin rapide et expressif.

J’ai dit qu’il s’agissait de croquis rapides. Des choses si simples.
Crayons – (j’utilise un 2b ou 3b, assez doux), avec une gomme et un taille-crayon. En vérité, je n’utilise presque pas la gomme dans ces cas-là. Et je n’efface pas. Nous prenons des notes dessinées.

Le stylo – très simple (j’adore les vieux stylos à bille Bic, surtout quand ils n’ont plus d’encre). Stylos à pointe fine noire indélébile. J’utilise les épaisseurs 02 à 08 Unipin ou Pigma. La pointe souple du BR (pinceau) est également bonne.

Un crayon à grosse pointe, du genre de ceux des charpentiers.

Ensuite, j’utilise un stylo/brosse avec des cartouches d’encre.
Il s’agit du Paintbrush, de la marque Pentel.
Si vous n’en avez pas, vous pouvez dessiner à l’encre de Chine avec la plume ou un pinceau adapté.
Toujours en fonction de vos goûts et de votre confort.

Voulez-vous vous offrir un cadeau ? Le stylo Pentel Energel, avec une pointe métallique souple et précise à la fois. Celui-ci possède des recharges d’encre très noire, et le marquage est précis et ne réagit pas à l’eau, il est donc parfaitement aquarellable. Si le stylo est un peu cher, vous pouvez toujours chercher un vieux stylo qui se prête à l’insertion de recharges. Je l’ai fait et j’ai maintenant deux stylos.

Pour la couleur, toujours dans la simplicité et avec un budget serré, j’utilise des crayons d’aquarelle + un pinceau avec un réservoir d’eau.
Bien sûr, vous pouvez aussi simplement utiliser des aquarelles.


J’utilise aussi des feutres simples. Vous n’avez pas besoin d’une gamme très large. Je reste avec 12-15 couleurs.

Et nous arrivons au PAPIER

Je suggère un papier de petit format, pour s’en tenir à l’essentiel et ne pas se perdre dans les détails.
Lors de mes webinaires, j’utilise des feuilles A4 pliées en 2. Cherchez le papier qui vous fait plaisir. Le papier à photocopie normal de format A4 peut ne pas vous donner la bonne émotion.

Ou des carnets. Livrets A5 ou A6, livre ou spirale. J’utilise le papier Moulin Du Coq, 140 grammes, bon rapport qualité-prix. Produit par Hahnemühle.

Si vous aimez l’aquarelle, vous pouvez utiliser un bloc de papier à reliure spirale. Je dirais 350 g/m². Ou un beau bloc Moulin Du Coq 425 gsm – Edition anniversaire de Hahnemühle.

Il me semble que c’est suffisant, certainement peu dans la grande mer de produits pour l’art et la créativité. C’est tout de même un bon début pour vous informer sur les meilleures façons de dessiner.

Bon dessin !

LES CARNETS VENITIENS – Le « gros projet »

POVEGLIA – Discussione sul parco urbano – Poveglia per Tutti

LES CARNETS VENITIENS – POVEGLIA
Le « gros projet »
2022
feutres et stylo sur papier (Carnet)
42 x 24 cm

Ce n’est pas fini, bien au contraire. Après le magnifique @festivaldelleartigiudecca qui restera à jamais dans mon cœur comme un magnifique souvenir, le travail a continué. Jusqu’à un tournant important, la discussion sur l’ébauche achevée du projet de parc urbain sur l’île de Poveglia. Longue et difficile discussion entre les infatigables personnes de Poveglia Per Tutti, mais rien n’est laissé au hasard. Nous irons jusqu’au bout et Poveglia on ne la lâchera pas.

LES CARNETS VENITIENS – Sourire derrière un masque

CARNETS VÉNITIENS
Croquis sur carnets
Stylo noir
2022
17 x 24 cm

Pour une nouvelle Renaissance vénitienne, (européenne, mondiale, universelle…). Septembre 2021. Je me suis rendu à la Fondation Cini à Venise en tant que délégué de l’association Poveglia per Tutti. Septembre 2022. Lors de l’exposition du festival des arts Giudecca – Sacca Fisola, un ami m’a dit : « Tu es la seule personne que je connaisse capable de dessiner une personne souriante derrière un masque ».

Il faut sauver le cinéma La Clef

Le combat se poursuit pour garder en vie La Clef, le dernier cinéma associatif de Paris, menacé d’expulsion.

Le combat se poursuit pour garder en vie La Clef, le dernier cinéma associatif de Paris, menacé d’expulsion.

Pour soutenir le combat de ce phare de la culture dans le Quartier Latin à Paris, j’ai visité ce magnifique cinéma et réalisé ce reportage en bande dessinée. Venez assister aux projections gratuites et participer au débat et à l’organisation de la résistance.